... et pourtant nous les rencontrons toujours.
Ça m'exaspère et en même temps j'en rigole. Pourquoi lorsque qu'on a pas envie de voir quelqu'un, on arrive tout de même à le rencontrer ? J'ai remarqué ça surtout lors de manifestations diverses et variées où il y a pourtant des milliers de personnes qui transitent et bien il faut qu'on se foutent dans eux, comme attirer par un aimant. Comme dans un magasin, à une foire, à la fête foraine, dans la rue ...vous savez ces personnes qui nous ont déçues et vice-versa, je ne suis pas une sainte non plus, un(e) ancien(ne) collègue qui vous en a mis plein le dos, un(e) ex, un(e) ancien(ne) ami(e), un(e) chef que vous détestiez, une personne de votre famille ...
Et quand on se retrouve en face, plusieurs choix possibles. Faire genre je ne t'ai pas vu et je passe tout droit, logiquement la personne en face en fait de même et tout le monde est content. Ou alors le faux-cul, "Ha salut comment ça va ?", "bien et toi ?", "bien, à plus". Ou encore c'est l'occasion de se crêper le chignon devant tout le monde, on ressort des trucs qui datent de 20 ans. Et puis une p'tite dernière que j'affectionne particulièrement et j'avoue je l'ai déjà pratiqué. Face à face, on se regarde, moment de flottaison :-) mais que va-t-il se passer ? et au dernier moment vous tournez la tête. Ca c'est énorme.
Je pense que finalement si nous avons eu l'occasion de rencontrer des personnes dans n'importe qu'elle situation c'est qu'il y avait une raison, et du coup nos chemins continuent de se croiser et se recroiser.
Bon j'arrête là car je vais rentrer dans un délire psycho, philo, socio, un truc dans le genre qui se termine en O.
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